I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking west into doorway of room at north end of western side of bakery room.
Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. March 2009. Looking west into room or stall in north-west corner.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking towards west wall of room. Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking south in south-west corner of room.
According to CTP, this would have been another “doorway blocked in antiquity”.
See Van der Poel, H. B., 1986. Corpus Topographicum Pompeianum, Part IIIA. Austin: University of Texas. (p.6)
Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking north from I.3.3 towards reverse of south-west corner of the above room.
Drew Baker says – the photo was taken to compare form of the aperture.
The eastern side appears to have a tufa framing member and the base at least a partial threshold.
However, there is no corresponding part on the western side which I would expect.
However, there is a wall there so it may not have been necessary but as there is what appears to be original fill either this is a door which was blocked up at some point or it is a feature of construction (opus africanum perhaps).
Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. March 2009. Looking towards north wall and north-west corner of room or stall.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking towards north wall and north-east corner. Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking towards east wall and doorway of room, and across bakery room towards entrance doorway.
Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking east at detail of waterproofed basin in north-east corner. Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking north at detail of waterproofed basin in north-east corner.
Photo courtesy of Drew Baker.
I.3.27 Pompeii. March 2009. Drinking trough, or waterproofed basin, in north-east corner of room.
I.3.27 Pompeii. September 2010. Looking towards south wall and south-east corner of doorway to bakery room. Photo courtesy of Drew Baker.
In Codex Topographicus Pompeianus: Regio I.3, (the copy at DAIR), Warscher included a description of the insula.
This description is included at the end in all parts of I.3 on the website.
“L’isola 3 della
Regio I apparteneva ai quartieri piuttosto poveri, ad’esenzione della casa no.
3 tutto le case sono di dimensioni non grandi.
La casa no. 3
presenta un interesse dal punto di vista della costruzione: il peristilio si
trova ad un livello più alto di quello dell’atrio:
questa
particolarità si riscontra solamente in questa casa.
Noi abbiamo un
esempio inverso nella casa dell’Ancora nera ove l’atrio si trova ad un livello
più alto di quello del peristilio.
Si sente bene
nell’isola in questione la vicinanza dell’anfiteatro da una parte e delle
caserme dei gladiatori dall’altra.
Non c’è dubbio
che le case nos 23, 25 siano state abitato da gladiatori.
(translation: “Insula 3 of Region I belonged to a rather
poor neighbourhood, with the exception of house No. 3 all the houses were not
large in size.
The house at no. 3 had a special interest from the point
of view of construction: the peristyle sits at a level higher than that of the
atrium: this particularity was found only in this house. We have a contrary
example in the House of the Black Anchor where the atrium was located at a
higher level than that of the peristyle.
The nearness of the amphitheatre on one side and the
gladiators' barracks on the other suited well the inhabitants of the insula in
question.
There was no doubt that the houses numbered 23, 25 had
been inhabited by gladiators.”).
Recherches sur
les boulangeries de l’Italie romaine – campagne 2014
Nicolas Monteix,
Sanna Aho, Audrey Delvigne-Ryrko et Arnaud Watel
Le matériel suivant est © Ecole française de Rome.
Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Voir http://cefr.revues.org/1380
Merci à Nicolas Monteix et à ses collègues.
The following material is © Ecole française de Rome.
Use subject to CC-BY-NC-SA 4.0
See http://cefr.revues.org/1380
Our thanks to Nicolas Monteix
and colleagues.
Cette boulangerie
a bénéficié d’un nettoyage extensif : la longue salle des meules et la
pièce de façonnage des pâtons ont été presque intégralement remises au
jour ; seule la probable écurie (Fiorelli 1873, p. 75), située à
l’extrémité occidentale, n’a pas été nettoyée pour des raisons tenant autant de
la logistique que de la sécurité (fig. 1).
Fig. 1 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Relevé de l’ensemble de la boulangerie.
Échelle :
1/100.
Relevé /
dessin : F. Fouriaux / N. Monteix / S. Mencarelli – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA
4.0
Au moment de
l’éruption, la salle des meules est aménagée en longueur, sur 19 m de long
pour 4,70 m de large, sans aucune division, à l’exception de l’aménagement
d’une petite pièce (1) immédiatement après l’entrée (Note 2). Contre le mur
méridional, un bloc de calcaire « du Sarno » servait de base à un
escalier permettant d’accéder à l’étage. Derrière cet escalier, un muret en
équerre fortement dégradé a été observé ; il délimite une surface enclose
à l’ouest par un muret construit en moellons de basalte (Note 3). Sur presque
toute sa longueur, la salle des meules est parcourue par une canalisation dont
la couverture est assurée par des blocs de basalte, (cf. infra § 11-12).
Seules quatre bases de meules subsistent : aucun élément pertinent à un
moulin n’a été observé. Alignées selon l’axe de la pièce, ces bases sont de
plus en plus dégradées d’est en ouest (Note 4) (fig. 2).
Note 2. Dans le
mur septentrional de cette pièce est visible un creusement destiné à recevoir
une couche. Rien ne permet cependant de supposer qu’un tel meuble était disposé
dans la pièce lors de la dernière phase.
Note 3. Il est
vraisemblable que le bras nord-sud du muret en équerre ait initialement
constitué un piédroit d’échiffre soutenant l’escalier.
Note 4. Si la
dégradation de cette boulangerie est perceptible, en particulier avec
l’affaissement du mur occidental de la pièce 1 et la chute du bloc constituant
l’autel (/table) du four entre 2009 et 2010 (cf. Pompeii in pictures
© Jackie & Bob Dunn), l’état des bases de meules correspond à la
description de G. Fiorelli (1873, p. 75) peu après la fouille : « Segue un pistrino con […] nell’area delle macine (b) le basi di tre molae
e gli avanzi di una quarta ».
Fig. 2 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – La salle des meules après son nettoyage. Vue de l’ouest.
Cliché : N.
Monteix – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Cette situation a
permis d’observer le mode d’insertion des metae :
pour régler leur hauteur par rapport au sol, soit un plan est maçonné (meule
4), soit des blocs servant de support rayonnent vers le centre de l’espace
délimité par le muret (meules 1-3). Si les bases sont directement posées sur
les niveaux de sol préexistant, le dallage les entourant a généralement
nécessité de creuser ce sol pour intégrer les blocs de basalte (fig. 3).
Fig. 3 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27.
(à dr.) Base de la première meule
depuis l’entrée, vue du sud. Le sol préexistant a été entamé pour insérer les
blocs de basalte.
(à g.) Base de la troisième meule depuis l’entrée, vue du nord. Cette base est
construite directement sur le sol antérieur. Au centre, des blocs permettaient
de recevoir la meta.
Clichés : N.
Monteix – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Étonnamment au
premier abord, seule la meule 1 dispose d’un dallage complet : comme pour
les bases, l’état du dallage tend à se dégrader d’est en ouest, la meule 4
ne présentant plus aucun bloc sur son pourtour. La surface du sol préexistant
autour de la meule 3 a été préservée par endroits, au même niveau que les rares
blocs conservés en place. Autour de la meule 4, la surface antérieure a
cependant été creusée. Cette situation ne saurait cependant s’expliquer par
l’arrêt de la construction à cause de l’éruption : le dallage présente de
claires traces d’usure indiquant que la boulangerie a fonctionné (fig. 4).
Fig. 4 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Usure du dallage de basalte entre les meules 1 et 2.
Le piquetage
initial, lié au débitage des blocs, ne subsiste en surface qu’en dehors du
parcours des équidés ayant fait tourner la meule.
Cliché : N.
Monteix – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Il faut donc
supposer que cette boulangerie était en voie de démantèlement en 79.
Le long du mur
méridional, immédiatement à l’ouest de l’accès à la salle du pétrin, sont
disposées deux maçonneries de plan sub-circulaire
(fig. 5).
Fig. 5 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Maçonneries servant de support de jatte de pointage dans
la salle des meules (vue du nord).
Celle de gauche
pourrait avoir été un conduit de citerne comblé lors de la construction de la
boulangerie.
Cliché : N.
Monteix – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Leur association
et leur forme permettent de les interpréter comme des supports destinés à
recevoir des jattes de pointage. La construction du support oriental diffère de
celle du support occidental, simple massif de maçonnerie. En effet, son centre
est constitué par un cylindre de maçonnerie à la paroi lissée, comme s’il avait
été coulé contre un muret désormais partiellement disparu. Cette forme et les
dimensions de ce cylindre autorisent à l’interpréter comme le bouchage d’un
orifice de citerne.
Au-delà de
l’espace strictement consacré aux meules, les seules traces observées renvoient
à la situation antérieure à l’installation de la boulangerie. Au niveau de la
meule 4, un mur arasé décrit un plan en équerre (fig. 6). Un passage se
serait situé sous la meule, permettant une circulation d’est en ouest.
Fig. 6 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Vestiges d’un mur arasé et de son sol en éclats de
calcaire (vue du sud).
Cliché : N.
Monteix – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Fig. 7 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Rigole arasée, vestige d’un état antérieur à la
boulangerie (vue du sud).
La zone
charbonneuse au centre correspond à un probable feu d’ouvriers lors du dégagement.
Cliché : C.
Salviani – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Si le sol des
espaces orientaux était constitué de cocciopesto, celui de la pièce occidentale
a été réalisé en éclats de calcaire blanc. Plus à l’ouest, les vestiges d’une
rigole décrivant un plan trapézoïdal ont été observés (fig. 7). Cette
rigole, probable trace d’un péristyle, continuait vers le nord avant l’érection
du mur séparant en ce point la boulangerie I 3, 27 de la Casa dei guerrieri (I 3, 25).
Selon un
dispositif qui n’a été observé par ailleurs qu’à une seule reprise, en
VI 14, 28-32 (Note 5), on accède à la salle du pétrin par une rampe
maçonnée avec des moellons en calcaire « du Sarno ». Le sol de cette
pièce était initialement constitué d’un cocciopesto. La moitié septentrionale a
été enlevée, laissant en vue le remblai de préparation où une fosse a été
creusée pour installer le pétrin mécanique. Lors de notre nettoyage, cette
fosse s’est avérée remplie de matériel éruptif éventuellement remanié. Le
pétrin gisait en son centre, dans une position verticale. Réalisé en basalte
local, il diffère considérablement de tous les autres observés sur le site, par
sa forme et par le système de fixation de la lame de frasage (fig. 8). Le
fond de la cuve est usé par le passage de cette dernière.
Note 5. Monteix
et al. 2013, § 18, fig. 10.
Fig. 8 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Vues du pétrin.
Salle du pétrin
depuis la salle des meules (à g., vue du sud). Le pétrin dans sa fosse de
récupération ( ?) (au
centre en bas, vue de l’ouest). Intérieur du pétrin : on observe le
système d’insertion de l’axe au fond de la cuve (au centre en haut, vue de
l’ouest). Intérieur du pétrin : l’utilisation de la lame de frasage a considérablement
usé la paroi de la cuve (à dr., vue du sud).
Clichés :
N. Monteix / F. Pauvarel / C. Salviani – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
La situation
observée, en particulier la position du pétrin, si elle n’est pas liée à des
remaniements effectués au sortir de la fouille, trahit ici encore une instance
de démantèlement de la boulangerie. Le nettoyage du reste de la salle n’a pas
permis de mettre en évidence des aménagements liés au façonnage des pains.
Cependant, des informations concernant les phases antérieures ont pu être
recueillies. Avant l’installation du four, la salle était ainsi divisée en deux
par un mur de refend orienté est-ouest (fig. 9).
Fig. 9 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Mur arasé dans la salle du pétrin (vue de l’est).
Cliché : C.
Salviani – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
La transformation
de cet espace en laboratoire n’a pas amené à la réalisation d’un nouveau
sol : le mur a été arasé au niveau du cocciopesto, la ligne d’arasement
servant de niveau de circulation.
Le four est
installé dans un espace quadrangulaire auquel on accède par une volée de deux
marches, la première maçonnée, la seconde étant constituée d’un seuil en
remploi (fig. 10-11).
Fig. 10 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Coupes longitudinale et transversale du four (en
haut) ; salle des meules, élévation sud (au milieu) ; salle du
pétrin, élévation occidentale (en bas).
Échelle :
1/100.
Relevé /
dessin : F. Fouriaux / S. Mencarelli – EFR. Utilisation
soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Fig. 11 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Le four vu depuis la salle des meules.
On accède à
l’autel (/table) par deux marches (vue du nord-ouest).
Cliché : C.
Salviani – EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Bien que
l’essentiel des élévations du four ait disparu, il est possible de le restituer
doté d’un mur diaphragme, d’un passe-pains
communiquant avec la pièce 3 à l’est, et d’un probable chauffe-eau à l’ouest.
Une technique de construction n’avait cependant jamais été relevée, en raison
des bonnes conditions de conservation des autres fours étudiés
jusqu’alors : lorsque le four est construit entre des murs préexistant
délimitant une pièce quadrangulaire, l’espace subsistant entre les murs et la
chambre de cuisson – circulaire – est laissée vide (fig. 12).
Fig. 12 – Pompéi,
boulangerie I 3, 27 – Espace laissé libre entre le mur contenant le four et
celui formant la coupole.
Vue du nord-est.
Cliché : A. Béranger
– EFR. Utilisation soumise à CC-BY-NC-SA 4.0
Pour le reste, il
convient de noter que le four s’appuie à l’est sur un mur nord-sud initialement
percé d’une fenêtre ; pour la construction du four, il a été nécessaire
d’ajouter un mur en équerre complétant ce mur nord-sud et effectuant un retour.
La longue pièce 6
s’achève par une latrine qu’il n’a pas été possible d’explorer pour comprendre
le devenir de la matière fécale. Le siège, une planche, était inséré dans le
mur oriental et reposait sur un massif maçonné construit contre le mur
occidental. Seul l’espace au-dessus du siège était protégé par une toiture dont
l’amorce est conservée au sommet du mur méridional. Cette toiture permettait de
recueillir les eaux météoriques, convoyées vers l’est par la canalisation qui
commence à l’entrée de la pièce 6. Lors du fonctionnement de la boulangerie,
l’eau était déviée vers la bouche de citerne située dans la pièce 2, contre le
mur septentrional de la pièce 5. Cependant, au moment de l’éruption, cette
dérivation était bouchée et l’eau partait directement vers la rue. Une dernière
hypothèse doit être mentionnée quant à l’emplacement de la citerne proprement
dite. Si l’un des deux supports destinés au levage de la pâte présente toute les caractéristiques d’une bouche condamnée, il serait
possible de supposer que la citerne s’étende sous le four et sous la pièce 3.
En appui de cette suggestion vient le fait que cet espace, surélevé par rapport
à toutes pièces environnantes, n’est absolument – et n’a jamais été – utilisé
par la Casa di Innulus voisine (I 3, 29), alors que la déclivité du
terrain aurait permis l’installation d’une pièce de plain-pied pour cette
maison.
L’étude des
maçonneries de l’ensemble de la boulangerie et d’une partie des pièces situées
dans les maisons environnantes permet de proposer la chronologie relative
suivante. L’espace I 3, 27 est créé dans une phase unique qui
exploite des blocs de calcaire « du Sarno » issus de la destruction
de murs construits en opera a telaio.
Lors de cette construction, cet espace se sépare de la partie occidentale de la
Casa dei guerrieri par l’érection d’un mur orienté
est-ouest (Note 6). Les travaux de construction de I 3, 27 commencent
par une réfection complète de la façade, réalisée en opus reticulatum et en opus vittatum mixtum utilisant notamment des moellons de tuf jaune.
Les murs de refend antérieurs sont arasés et la construction se déploie d’est
en ouest. Cependant, au cours de ces travaux, le projet évolue et une
boulangerie est installée, comme en témoigne le mur en équerre qui sépare la
salle du pétrin du four et qui s’appuie sur un mur initialement percé d’une
fenêtre et installé sur un mur antérieur arasé (fig. 10, en bas). Suite à ce changement, les murs méridionaux des pièces 5 et
6 sont doublés. La boulangerie est installée. Il est probable qu’au cours de
son fonctionnement, elle s’étende vers l’ouest (Note 7). Avant l’éruption, le
démantèlement de la boulangerie est cependant initié.
Note 6. C’est suite à cette construction que la Casa dei guerrieri prend le plan tel qu’on le connaît actuellement.
Cette séparation d’avec I 3, 27 permet ainsi de construire une maison de
plain-pied, malgré la forte déclivité du terrain.
Note 7. Cette
extension pourrait avoir lieu au gré du changement de projet. Elle a de toute
façon eu lieu après la première reconstruction des murs séparant I 3, 27 de la
Casa dei guerrieri, comme en attestent le pilier en
tuiles situé dans le mur nord de la pièce 8 et les différentes techniques de
construction.
Nicolas Monteix,
Sanna Aho, Audrey Delvigne-Ryrko et Arnaud Watel, « Pompéi, Pistrina
», Chronique des activités archéologiques de l’École française de Rome [En
ligne], Les cités vésuviennes, mis en ligne le 01 juillet 2015, consulté le 07
juillet 2019. URL : http://journals.openedition.org/cefr/1380
Merci à Nicolas Monteix et à ses collègues.
Our thanks to Nicolas Monteix
and colleagues.